A cheval chez Ferrari ? Ferrari, la marque la plus influente dans le monde
Il ne s’agit pas là que de l’opinion des millions de fans de la marque au Cheval Cabré à travers le monde, ni de celle des clients qui, année après année, continuent de s’offrir les véhicules de Maranello. Cette affirmation est le résultat du classement annuel établi par Brand Finance, expert en valorisation des marques.
Ce classement prend en compte aussi bien des critères financiers,que des critères comme l’attachement à la marque, la fidélité client ou la qualité de la politique des ressources humaines.
Ainsi, la marque au cheval cabré se classe devant des colosses internationaux tels que Coca-Cola, Google, Hermès ou Disney.
Le symbole de cette marque n’est autre qu’un cheval noir cabré sur fond jaune. Quelle est l’histoire de ce logo ?
En 1923, Enzo Ferrari gagne une course sur le circuit du Savio, que l’on courait à Ravenne. A cette occasion, il rencontre la Comtesse Paolina, la mère du comte Francesco Baracca, héroïque aviateur de l’escadrille des as de la première guerre mondiale. La comtesse lui suggère alors d’utiliser le cheval cabré de son fils, sur ses voitures pour lui porter chance.
Ferrari ajoute à ce cheval cabré noir, un fond jaune, couleur de la ville de Modène, sa ville de naissance.
Les logos ci-dessous nous donnent une petite indication de l’évolution entre la première Ferrari 125S en 1947 (à gauche) et la dernière modification en 2002 (à droite).
Fougue, vitesse, puissance et noblesse.
Symbole par excellence de la marque, le cheval cabré participe au mythe de la Scuderia en récapitulant les apparats de Ferrari tels que la fougue, la puissance, la vitesse et la noblesse. Quatre termes qui définissent tout aussi bien l’aviation de chasse du début du XXème siècle, dont les premiers combats ressemblaient étrangement à des ballets joués au ralenti et qui a offert à Ferrari son symbole le plus prestigieux : le cavallino rampante.
Il semblerait que l’histoire de ce logo soit également liée à celle du mythique logo de Porsche. L’occasion d’un prochain article…